Saint-Antoine le Grand c'est le 17 janvier, l'AACLE fête la Saint-Antoine le 3e samedi et organise la messe le 3e dimanche de janvier
Et par Saint Antoine? vive la Légion!
17 janvier, c'est la Saint Antoine ! il est le Saint-patron de la communauté-Légionnaire
Saint Antoine le Grand (251-356) (à ne pas confondre avec saint Antoine de Padoue, franciscain du XIIIe siècle), est né en Haute-Egypte dans une famille chrétienne. Vers l’âge de 20 ans, il entend l’évangile du jeune homme riche (Mat. 19, 16-21) et le reçoit comme un appel personnel: « Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres… puis, viens et suis-moi ». Il se retire alors dans le désert de la Thébaïde pour y mener une vie d’ermite dans la prière, où il trouve la force de lutter contre les tentations et de sortir finalement vainqueur de ces combats spirituels contre les pièges de Satan. Très vite, il va attirer de nombreux disciples ; à son école, se créent des groupes d’ermites, qui se rassemblent autour d’un abbé, les anachorètes. En cela, il est le véritable père du monachisme chrétien.
Avec son ami Athanase, évêque d’Alexandrie, (ne pas confondre avec Saint Athanase dont la tombe se trouve au Mont Athos) qui écrira ensuite sa vie, il travaillera aussi à réduire l’hérésie arienne. Il terminera sa vie à plus de 100 ans, dans son ermitage auprès de la mer Rouge où se trouve aujourd’hui le monastère copte qui porte son nom. Il jouit très rapidement d'une grande popularité et devint le protecteur de nombreuses confréries et métiers.
Certainement que son caractère de lutteur victorieux (dans la vie spirituelle), d'ascète qui vit de manière frustre et dépouillée dans la solitude, d'homme qui a changé de vie pour une vie nouvelle au service de Dieu, a de quoi largement toucher le Légionnaire. Mais la célébration des combats de Camerone (30 avril) et l'importance prise à la Légion par la veillée de Noël (avec la création de crèches) tendent à éclipser quelque peu la fête de Saint Antoine ", écrit Jean-François Plantec, dans sa chronique culturelle. Il rappelle aussi que le 17 janvier 1855 a vu la "création d’une seconde Légion étrangère, dite Légion suisse.
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PRIÈRE DU LÉGIONNAIRE
et mort comme un malfaiteur,
après avoir couru sans argent toutes les routes, celles de l’exil,
celles des pèlerinages et celles des prédications itinérantes,
Tirez-moi de mon égoïsme et de mon confort.
je n’aie pas peur de la vie rude et dangereuse où l’on risque sa vie.
au-delà de toutes ces aventures plus ou moins sportives,
au-delà de tous les héroïsmes à panache,
rendez-moi disponible pour la belle aventure où vous m’appelez.
et à la souffrance, aux échecs et aux réussites,
de ne pas mettre ma confiance en moi, mais en vous,
de jouer le jeu chrétien sans me soucier des conséquences et, finalement,
de risquer ma vie en comptant sur votre amour.
Ne sont Légionnaires que ceux qui ont porté le képi blanc et sont dotés d'un matricule Légionnaire !
Le dernier père Légion a été le Général Bernard GOUPIL, depuis la création du COM.LE, ils sont des commandants de la Légion étrangère.
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