Compte rendu de l'Assemblée Générale de l'AACLE du 8 décembre 2023
Un compte rendu à quatre temps
«Lien de la convocation et de l'«ordre du jour»
AACLE : Le one-man show de Constantin Lianos
Comme chaque année, l’assemblée générale des anciens combattants et amis de la Légion Etrangère (AACLE) orchestrée de main de maître par le lieutenant-colonel Constantin Lianos a été une simple formalité. Les comptes ? Ils ont été dûment épluchés et vérifiés par le commissaire aux comptes Christian Michel et par la trésorière Patricia Gomez-Basquez qui les ont approuvés en raison de leur sincérité, leur régularité et leur exactitude. Avec Lianos, on le sait, un sou est un sou. Donc, sachez que le solde de l’AACLE est très largement positif parce que les personnalités qui veillent sur les mouvements de fonds et les flux commerciaux se sont acquittées de leur mission avec dévouement, rigueur, compétence et probité. Fermez le ban.
Constantin Lianos a souligné, pour la énième fois, que l’association était totalement indépendante des pouvoirs publics car elle n’accepte aucune subvention, de quelque nature qu’elle soit, ni aucune gratification, par ailleurs, l'AACLE ne délivre pas des reçus fiscaux. Il a confirmé qu’il poursuivait sans relâche sa chasse aux imposteurs qui se parent de titres ou de grades qu’ils n’ont jamais eus. Il a égratigné au passage la fédération des sociétés d’anciens de la Légion Etrangère dont l’AACLE s’est séparée pour incompatibilité d’humeur : « depuis que nous l’avons quittée, nous sommes plus riches et nous n’avons plus de problèmes », a fait observer Lianos.
Le président incontestable et incontesté a ensuite fait une revue de l’actualité assez pessimiste mais d’un réalisme glacial : l’Organisation des Nations Unies ? Elle est islamisée. L’Organisation du traité de l’Atlantique Nord ? Elle ne sert que les intérêts anglo-saxons. L’immigration-intégration ? Echec sur toute la ligne. L’endettement colossal de la France ? Il est faramineux. La politique étrangère au Mali et au Niger ? C’est une catastrophe. La guerre mondiale ? Elle nous guette pour la troisième fois. L’insécurité ? Elle s’aggrave en permanence avec l’ensauvagement de la société et 120 attaques au couteau par jour. Bref, le pays s’enlise dans une situation très préoccupante et il se délite tous les jours sous nos yeux consternés. Rapport moral adopté à l’unanimité.
Le lieutenant-colonel Constantin Lianos a tout de même conclu son exposé sur une note optimiste : « notre civilisation est en déclin mais la jeunesse française va nous montrer le chemin du salut », a-t-il estimé.
José D’Arrigo
Lien de la convocation et de l'«ordre du jour»
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Conclusion de l'assemblée générale et message du général Christian Piquemal :
« Français, réveillez-vous ! »
Le général Christian Piquemal, qui présidait ce vendredi 8 décembre l’assemblée générale de l’association des anciens combattants et amis de la Légion étrangère au lycée hôtelier de Bonneveine à Marseille, n’a pas mâché ses mots en lançant un véritable appel à la résistance française :
« Français, réveillez-vous, s’est-il exclamé d’une voix forte devant un parterre de personnalités militaires et civiles éminentes. Je ne peux que te féliciter, cher Constantin Lianos, de la tenue exemplaire de cette association que tu as su faire renaître de ses cendres. En ma qualité d’ancien commandant de la Légion Etrangère, je ne peux que dire du bien de toi ! Je m’incline aujourd’hui devant cette noble assemblée et devant son président fondateur. J’aimerais vraiment que toutes les associations d’anciens combattants fonctionnent aussi bien que la vôtre. Pour moi, Constantin, tu es devenu une référence, un modèle à suivre. Pour donner vie à une association, il faut que les adhérents participent activement à l’essor de l’entreprise et je sais que ton équipe est très soudée et très efficace. »
« Le lieutenant-colonel Constantin Lianos, c’est un cas, a estimé le général Piquemal. Il est adoré ou détesté en raison de son caractère entier. Je te félicite Constantin pour ton parcours exceptionnel au sein de la Légion et pour ta carrière d’officier à titre étranger. Tu aurais pu t’arrêter lors de ton départ à la retraite mais tu as choisi de créer cette association unique en France et dans le monde. Tu as réussi à constituer un corps exceptionnel de volonté et de dynamisme. Moi-même, quand je dirigeais l’union nationale des parachutistes, association dotée de 14 000 membres, je n’ai pas réussi à faire ce que tu as fait. Le plus grand mérite, c’est d’oser. Et toi tu as osé…»
Cet hommage flamboyant du général Piquemal au lieutenant-colonel Lianos a été chaleureusement applaudi par l’assistance. « Je sais bien que parfois tu es un peu despote, a affirmé le général en souriant, mais je sais que si tu n’étais pas là, l’association des anciens combattants et amis de la Légion Etrangère aurait déjà fermé ses portes.
Ce que je sais aussi, cher Constantin, c’est que tu n’es pas éternel et il faudra songer à te trouver un successeur, ce qui n’est pas une mince affaire. On ne te remplace pas, Constantin, on ne peut que te succéder ! »
L’hommage fervent du général ne s’est pas arrêté là. Il a souligné le courage de Lianos qui avance par vents et marées sans se soucier du qu’en-dira-t-on. Il l’a comparé à une « barre à mine », car personne ne peut la faire plier. Le général Piquemal prône l’accession aux responsabilités de personnes plus jeunes pour assurer la relève. Il a ensuite évoqué la « décadence de la France » et le réveil impératif des patriotes pour sauver cette France que nous ont léguée les Poilus au péril de leur vie.
« La France éternelle doit rester le phare du monde, a-t-il souligné, nous assistons avec sidération à une guerre de civilisation entre la société occidentale et l’Islam politique, entre l’ancien monde et le monde actuel. Il va falloir se retrousser les manches et transmettre notre amour de la France éternelle aux jeunes générations pour qu’elles reprennent le flambeau. Certains dirigeants s’activent pour hâter la mort de la France : plus d’Etat, plus de nation, plus de souveraineté, simplement des régions gérées par un gouvernement central européen. Sachez-le, la France ce n’est pas ce que vous vivez aujourd’hui mais il va falloir se bouger pour rétablir l’ordre ! »
« Hélas, a regretté le général Piquemal, de nombreux Français se comportent comme des moutons. Ils acceptent toutes les avanies qu’on leur inflige sans broncher. Avec Lianos, ici, vous disposez d’un vrai chef. Mieux vaut cent moutons commandés par un lion, que cent lions commandés par un mouton ! Il faut réveiller les consciences endormies ou diverties pour mettre un terme à notre décadence. Il faut trouver des lions et descendre dans la rue. Lorsque j’étais conseiller du Premier ministre Michel Rocard, ses conseillers ne craignaient que d’une chose : la révolte populaire. Sachez que la rue appartient à celui qui y descend. Les politiciens se servent au lieu de servir la France et s’ils pressentent que la rue va bouger, ils reculent. L’armée a été professionnalisée et elle ne bougera pas. La disparition du service militaire est hélas irréversible car on a vendu quasiment toutes nos casernes. On ne reviendra pas en arrière. Et si nous ne réagissons pas à temps, c’est une mort certaine qui attend la France… »
Il est vrai que de nombreux militaires de haut rang ont d’ores et déjà quitté la France. Il est tout aussi vrai que le lien, naguère fructueux, entre armée et nation n’existe plus. Mais le général Piquemal, qui a été décoré de la médaille d’or de l’association, a conclu son vibrant plaidoyer par une note optimiste : « Tant qu’on a un souffle de vie, on peut se battre et résister.
Chers amis, battez-vous jusqu’au bout, résistez, sauvez la France éternelle ! »
José D’Arrigo
Photo famille de l'AACLE
Album photos réalisé par le Lcl Christian SABATIER (MAV, Membre bienfaiteur de l'AACLE)
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Les quatre vérités du professeur Christian Perronne :
Invité d’honneur du lieutenant-colonel Constantin Lianos lors de l’assemblée générale de l’association des anciens combattants et amis de la Légion Etrangère, le professeur Christian Perronne, une sommité mondiale de la médecine et de la santé publique, a carrément dit ses quatre vérités à tous ceux qui l’ont empêché de s’exprimer et de donner son point de vue dissident sur ce qu’il appelle « la fausse tragédie du Covid ».
Christian Perronne parle avec une grande douceur, même lorsqu’il lâche des « scuds » ou des bombes atomiques susceptibles de désintégrer n’importe quel système gouvernemental, pour peu que ses révélations fracassantes fussent vraiment rendues publiques par les grands médias mainstream.
« Voilà une épidémie qui était censée faire des millions de morts, constate-t-il, elle s’est soldée par 165 000 morts en France, bilan qui n’a rien de comparable avec celui de la grippe espagnole ou asiatique. Contrairement à ce qu’on vous a seriné à la télévision, il n’y a eu en France aucune surmortalité ni aucune saturation hospitalière. La plupart des décès concernaient surtout des sujets à risques : diabétiques, obèses, cardiaques, personnes âgées ou fragiles. Si ces personnes avaient été admises à temps en réanimation, elles auraient pu être sauvées… »
Donc, on nous a menti, on nous a bel et bien roulé dans la farine du matin au soir. Mais comment cet effet de sidération de l’opinion a-t-il été possible ? « Par la mise en œuvre d’une « plandémie », c’est-à-dire une pandémie planifiée par les autorités pour apeurer les populations et les manipuler à leur guise, répond le professeur Perronne. On a créé de toutes pièces une épidémie de tests positifs pour détecter un maximum de cas positifs au Covid et diffuser ainsi un maximum de vaccins ».
En réalité, le « pseudo-vaccin anti-Covid » n’immunise personne et ne protège personne. Il a été présenté à tort comme une panacée mais il a surtout contribué à aggraver les cas de pneumonies et à multiplier le nombre de cancers. « Le gouvernement n’a rien fait de ce qu’il fallait faire », accuse le professeur. « On a masqué les fraudes dans la publication des études du vaccin Pfizer, on a caché les irrégularités qui pouvaient mettre en danger les femmes enceintes et les enfants, et de toute manière ce produit n’aurait jamais dû être agréé en un temps record et dans l’urgence car personne n’a le droit d’administrer un vaccin en phase expérimentale et qui n’a pas obtenu le consentement éclairé des citoyens. »
Pour le professeur Perronne, le « cocktail » médicamenteux proposé par le professeur marseillais Didier Raoult (hydroxychloroquine, azithromycine et vitamine D) était extrêmement efficace puisqu’il a guéri des centaines de milliers de patients en Afrique, en Inde ou au Vietnam. Donc, la dramatisation de cette épidémie, somme toute vénielle au regard des ravages consécutifs aux véritables pandémies dans l’histoire, est liée à une préoccupation mercantile concernant des millions de doses de vaccin qu’il fallait bien écouler sur des cobayes consentants…
«Il suffisait d’isoler les malades, fait observer Christian Perronne, au lieu de mettre toute une population sous cloche. Au début de l’épidémie, avant même que la population ne se soucie du Covid, le gouvernement a commandé à Saint-Gobain des millions de fioles en verre pour recevoir le vaccin, ce qui prouve qu’il était déjà en train de mettre en œuvre sa grande manipulation. Quant au cocktail du brillant infectiologue marseillais, il est tout à coup devenu nocif, comme par hasard…»
Dans certains pays, on commence déjà à communiquer des données montrant un lien évident entre la mortalité et les injections de vaccins, mais en France cet éclairage n’est pas autorisé parce qu’il révèlerait « en même temps » la duplicité du gouvernement dans cette approche pseudo-sanitaire.
Il est probable qu’on analysera dans l’avenir la survenue de « turbo-cancers », de thromboses, de troubles respiratoires récurrents à ces vaccins obligatoires. On rendra probablement justice à tous les réfractaires qui avaient pressenti la grande magouille instrumentalisée par l’industrie pharmaceutique et ses financiers. On mettra en accusation l’organisation mondiale de la Santé, filiale de Bill Gates, et sa politique de bourrage de crâne. On comprendra mieux les rouages d’une immense chaîne de corruption fomentée par Big Pharma et ses complices politiques.
On rendra (peut-être) justice à ces hauts fonctionnaires qui ont vainement alerté les autorités sur ce qu’il convenait de faire pour protéger au mieux les populations ainsi qu’à toutes ces infirmières et soignants traités comme des chiens galeux et jetés en pâture à l’opinion parce qu’ils étaient réfractaires au vaccin. Ces milliers de personnes ont été suspendues sans aucun droit au chômage et la chasse aux sorcières se poursuit aujourd’hui dans un pays censé être démocratique.
Le professeur Christian Perronne a vécu ce « cinéma » gouvernemental aux premières loges car il est un des chefs de service les plus réputés de Paris. Lui aussi a été traîné dans la boue, interdit d’antenne, radié, ostracisé, nazifié. Mais il ne renonce pas : « j’estime qu’on ne peut pas mentir indéfiniment aux Français et ils sauront un jour la vérité », prédit-il.
Ce jour-là, la France apprendra que les premiers informés de cette « grande manipulation » avaient été les anciens légionnaires et amis de la Légion Etrangère à Marseille.
José D’Arrigo
Lien du compte rendu de la visioconférence internatioanle du 11 mars 2023
Lien d'une intervention sur X par une Dame: Here we go! Good luck to all that are involved, I told you that we would get here
(information à vérifier... et si c'est un fake, il faut quitter le réseau X )
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Quatrième temps :
Traditions
« Attention pour la Poussière ! »
Le Major Dante Stevenazzi (Est-il utile d’ajouter son nom ? Le seul titre de major le définit : il n’y en a qu’un comme lui) vient de lancer le commandement : « Attention à la Poussière ! ». Toute l’assistance se lève d’un même mouvement.
Au devant des tables, les élèves du Lycée hôtelier n’osent pas bouger mais leurs regards trahissent un profond étonnement …
« La Poussière ? ». La poussière : leurs professeurs la leur font traquer partout, sur les meubles et dessertes de service, sous les tables, dans les angles des salles à manger … et là, ces curieux convives se mettent au « garde à vous » en l’honorant ! Qu’est-ce donc que cette curieuse communauté ?
« Envoyez »
Les élèves n’osent toujours pas bouger. « Envoyez ». Que va t-on donc envoyer ? Mettez-vous deux minutes à la place de ces jeunes gens et jeunes filles. Ils sont habitués à recevoir des clients venant déjeuner ou diner de façon classique, « normale », habituelle. Ces clients s’assoient, discutent entre eux, dégustent les mets préparés avec soin par les élèves-cuisiniers, futurs chefs, et présentés par les élèves maîtres d’hôtel. Et c’est tout.
Mais là, en ce 8 décembre, rien de classique, en effet.
« Élémentaire, mon cher Watson ! »
Ceci n’est pas un déjeuner ; c’est un cérémonial !
Les verres se lèvent harmonieusement d’un même envol. Là certains élèves se disent au fond d’eux-mêmes :
« Ces gens-là ont dû suivre des cours d’Art de la Table pour savoir autant coordonner leur mouvement de cristallerie ! ».
Mais les surprises ne font que commencer. Aussitôt les verres vidés d’un trait, le major entonne :
« Tiens, voilà du boudin … »
Là, l’étonnement dépasse l’imaginable : du boudin ! Ce n’est pas au menu : nous allons servir du magret du canard en sauce asiatique ! Les élèves ne savent plus que comprendre. Et, en plus, ce boudin, il n’y en aura pas pour tout le monde !
« Chez ces gens-là » (ça ne vous rappelle pas une chanson du grand Jacques ?) il vaut mieux être alsaciens, suisses ou lorrains car les belges sont privés de boudin ! Et, en plus ce sont des « tireurs au cul !». Jamais un mot pareil n’a publiquement été prononcé dans notre restaurant. Et repris en chœur par tous les participants au déjeuner !
Jeunes gens et jeunes filles, ce ne sont pas des clients que vous servez aujourd’hui, ce sont des légionnaires et des amis de la Légion. Avec la Légion, sachez-le, rien n’est comme avec les autres. La Légion est unique. Tradition oblige. Alors, à notre table d’expliquer aux jeunes maîtres d’hôtel la tradition Légion. La Tradition. Et les élèves, enchantés, nous écoutent.
Tradition, force éternelle
Du verbe latin Trado, la tradition est la transmission. Mais pas seulement. La tradition se décline en trois mouvements, en trois actes :
- Transmettre,
- Confier,
- Enseigner.
La Tradition est aussi un trésor que l’on confie et que celui qui le reçoit doit, à son tour, le transmettre et l’enseigner.
Lacordaire définissait la tradition comme étant le lien entre le présent et le passé. Un lien qui résiste au temps et s’exprime de générations en générations par des symboles, des professions de foi et des cérémonies. La tradition a ses définitions historique, juridique, liturgique, théologique … mais la tradition Légion est une des plus vivaces.
Nos élèves du Lycée hôtelier vont comprendre : les classiques déjeuners se déroulent de plats en plats : entrée, plat principal, fromages, dessert. Ici, rien de « plat » ! Dans la Légion, rien n’est Plat !
Certaines tables font le « Trou normand ». Nous, notre Trou normand, c’est le Chant !
Le Popotier après avoir lu le menu souhaite bon apétit voir lien ici...
« Ces règles tu respecteras sinon ton écot tu paieras »
«· Rire pendant le BOUDIN
· Parler après « VOS GUEULES»
· Ne pas connaître les chants Légion
· Ne pas connaître le règlement de la popote
· Se lever ou s’asseoir sans autorisation
· Manger avant le Président
· Fumer sans autorisation
· Ne pas apprécier le vin du Président
· Raconter ses campagnes
· Se prendre pour le Président
· Se prendre pour le popotier
· Délation
· Amitié particulière
· Arriver en retard sans excuse
· Parler de service à table
· Parler de « Zouaves » sans se lever et dire « sauf votre respect Président »
· Se sentir brimé
· Ne pas respecter les décisions du Président
· Incompétence notoire (motif réservé au seul popotier)»
Celui ou celle qui se fera piéger prendra part aux dépenses et montage de la fête des rois qui aura lieu le samedi 20 janvier 2024
Le Chant :
Le maître d’œuvre est toujours le major. (Le meilleur : major, en latin). Le chant est la cohésion de la Troupe. Dante ne chante pas avec ses cordes vocales mais avec son cœur. Il doit y avoir chez Dante une connexion exceptionnelle entre son cœur et sa bouche. Le chant maintient la tradition. Il l’explique dans son ouvrage :
« Une vie pour la Légion, la Légion pour la vie » (Editions Maïa 2023).
À chaque chant qu’il entonne (Entonne est le bon verbe car, croyez-moi, quand Dante chante, ça tonne !) toute l’assistance pose couteaux et fourchettes pour chanter avec lui.
Eugénie, le fanion de la Légion, le Chant des partisans, … Pour les chants de régiment tout le monde se lève.
Les jeunes ne sont plus étonnés. Comment cela ? Non, ils sont devenus admiratifs. C’est la Légion. La Légion éternelle !
Je crois qu’ils se souviendront toujours de ce déjeuner à l’issue duquel le président remit la médaille de l’Association à leurs professeurs.
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Remerciements :
« Celui qui n’est plus ton ami ne l’a jamais été » Aristote (384-322 av. JC.)
L’intervention magistrale du Professeur Christian PERRONNE est inscrite dans le marbre de notre mémoire. Son humilité et sa douceur ont marqué à vie les participants.
Remerciements de membres ayant assisté à l'AG :
Merci pour cette belle journée conviviale, la très bonne conduite de cette AG et l'excellent repas servi dans une belle ambiance.
Grosses bises à Jeanne.
Texte et photos © Monsieur-Légionnaire
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